Formée à l’École Estienne en design graphique et typographie : j’aime créer des règles typographiques, j’aime leur désobéir. J’ai un goût prononcé pour la typographie parce qu’elle habille le sens et le langage. Observer la typographie affute le regard ; c’est ce regard exigeant et mon expertise de métier que je mets au service des projets de mes clients depuis plus de 10 ans. Pour chaque mission je cherche le juste équilibre entre le sens, la fonctionnalité et l’élégance.
Boby Lapointo
-phile -phage -logue.
Bonne nouvelle, c’est la nouvelle année !
Le temps est devant nous et tout les possibles le sont, donc. Carte de vœux (encrée) pour l’année 2016.
Je fais, certains dimanches, dans ma chambre, des petits films de rien, pour exprimer une idée, chanter ou remplir le temps… un peu comme un sourire que je (m’) adresse.
J’ai signé le premier Les films du dimanche pour exprimer le caractère dominical et amateur de cette pratique. J’ai gardé cette signature pour continuer la collection.
Bras relâchés, épaules droites. Trouvez le temps fort, gardez le rythme, et dansez 2015 !
dansante, riante, sautillante, appétissante, swinguante et vivante !
Je fais, certains dimanches, dans ma chambre, des petits films de rien, pour exprimer une idée, chanter ou remplir le temps… un peu comme un sourire que je (m’) adresse.
J’ai signé le premier Les films du dimanche pour exprimer le caractère dominical et amateur de cette pratique. J’ai gardé cette signature pour continuer la collection.
Pour faire ce site, il a bien fallu commencer par un bout. J’ai donc sorti un exemplaire de tout ce que j’avais fait et j’ai tout mis par terre !
Au milieu de cette mer de graphisme : des éditions, des lettres, des animations, des jeux de mots… Mais comment organiser tout cela ?
Et si je faisais un petit répertoire personnel ?
Un dictionnaire ça aide. Ça sert à voir le sens des mots, le sens des choses. On peut jouer avec. Un dictionnaire souvent ça commence par A. A comme ce petit jeu que l’on faisait lorsque nous étions enfant où il fallait trouver une fleur qui commence par A, un pays qui commence par A, un métier qui commence par A. A comme une tentative de définition de mon métier, de mes savoir-faire, de mes curiosités, de mes petits chemins…
Un jour ma grand-mère m’a raconté comment Coco Chanel finissait ses ouvrages : sur l’envers des robes, les bords du tissu, alors brut, étaient surfilés par un fil doré, au point de chaînette. C’est à cet endroit secret, au creux des décolletés, que se cache un trésor de finition et de dextérité. Ce petit fil était le témoignage intime de la ténacité de la créatrice à ne rien laisser passer, à soigner le moindre détail, à tout considérer. En préparant une maquette, il m’arrive de penser aux ourlets de Coco Chanel. L’hebdomadaire VU, dans les années vingt, a révolutionné l’art de la mise en page par sa hardiesse, son intelligence et sa vitalité. Quand on demande qui en étaient les maquettistes, ces artisans de la qualité, ou bien les directeurs artistiques, à une exception près aucun nom n’apparaît. J’aime la typographie parce qu’elle est faite de choix subtils, souvent inconnus du lecteur, mais qui le confortent dans son plaisir de lire. C’est un art qui flirte avec l’invisible. Adeline Goyet, édito Graphê nº 36.
Force, constance et courage. Haut les cœurs 2014 !
Je fais, certains dimanches, dans ma chambre, des petits films de rien, pour exprimer une idée, chanter ou remplir le temps… un peu comme un sourire que je (m’) adresse.
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Les Rencontres internationales de Lure existe depuis 60 ans mais sont de plus en plus jeunes !
Le temps fort des Rencontres c’est une semaine de conférences, dans le cadre de la Provence, pour échanger, débattre, rencontrer, pour prendre de nouveaux chemins, faire des réserves pour l’année à venir. Une audience chaleureuse, à portée humaine : 100 participants — 30 intervenants (graphistes, typographes, codeurs, éditeurs, enseignants, artistes, designers…) pour examiner l’écriture, son évolution et ses formes (typographique, littéraire, visuelle ou numérique). Elles éditent une fois par an la revue Après\Avant.
J’ai connu les Rencontres en 2003 pour y présenter mon projet de diplôme. Je ne les ai plus quittées.
En 2005 j’ai rejoint le bureau de l’Association qui anime et programme les actions des Rencontres. J’en suis aujourd’hui la présidente.
J’aime ce groupe pluridisciplinaire, intergénérationnel. Une vraie aventure humaine pour monter, avec le Comité des Rencontres, cet événement culturel : chaque année un moment intense pour tous.
Charlotte est à la montagne. Adeline à la mer. Elles ont une trentaine d’années et peut-être le même désir de liberté, de légèreté et des idées dans la tête. Torse nu face au monde, il ne reste plus qu’à faire un pas pour avancer sa vie.
Je me souviens de la rétrospective Perriand en 2005 au Centre Pompidou. D’abord parce que j’ai vu la démarche d’une designer, pas à pas et la permanence de ses choix. Et aussi, pour rendre à Perriand ce qui appartient à Perriand, je me suis aperçue que j’avais attribué, à tort, tellement de ses créations à Prouvé ou au Corbusier. Mon erreur (stéréotype quand tu nous tiens), sa force et son courage à faire sa place m’ont marquée.
Je fais, certains dimanches, dans ma chambre, des petits films de rien, pour exprimer une idée, chanter ou remplir le temps… un peu comme un sourire que je (m’) adresse.
J’ai signé le premier Les films du dimanche pour exprimer le caractère dominical et amateur de cette pratique. J’ai gardé cette signature pour continuer la collection.
Re/découvrir le poète monter le son et allumer 2013 !
Pour revenir à l’état sauvage cliquez ici
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J’ai une passion pour les comédies musicales américaines des années 40/50. Ces danseuses et danseurs sont, pour moi, complètement revigorantes.
Ils effacent en quelques pas le moindre nuage et redonnent courage.
Plic est une toute petite comédie musicale réalisé avec peu de moyens (2 doigts, une table, effet pluie), un dimanche pluvieux.
Dans le rôle du pied de droit de Gene Kelly, mon index gauche, dans le rôle de son pied gauche, mon majeur gauche.
Pour entrer dans la danse cliquez ici
Je fais, certains dimanches, dans ma chambre, des petits films de rien, pour exprimer une idée, chanter ou remplir le temps… un peu comme un sourire que je (m’) adresse.
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